Selon un rapport d’analyses rendu public aujourd’hui par Greenpeace, s’asperger de parfum nous expose à des substances chimiques persistantes, suspectées de pénétrer le corps, avec des effets graves pour la santé à long terme.

My toxic Valentine.

Paris (France) Le rapport «Un parfum de
scandale» présente les résultats de l’analyse de 36 parfums
mondialement connus et démontre la présence de substances chimiques
fabriquées par l’homme, notamment les esters de phtalates et les
muscs de synthèse. La législation actuelle est insuffisante et ne
nous protège pas de l’exposition aux substances chimiques qui se
trouvent dans les cosmétiques et beaucoup d’autres produits de
consommation courante.