Le 12 avril, des engins de chantier ont fait leur apparition sur la décharge du Letten. Mais les problèmes fondamentaux provoqués par la chimie bâloise n’en ont pas disparu pour autant. Le fait que les autorités françaises soient restées inactives pendant des années et de manière irresponsable est plutôt inquiétant pour l’avenir.


Les déchets toxiques bâlois continuent de s’écouler du Roemisloch en direction d’Allschwil.

Genève (GE) La convention passée récemment entre l’industrie chimique bâloise et les autorités françaises est totalement insuffisante, parce qu’elle ne comprend aucune mesure de sécurisation ni d’assainissement des décharges. C’est pourquoi Greenpeace France et Greenpeace Suisse ont déposé un recours contre les autorités françaises pour inaction.