Une nouvelle étude publiée aujourd’hui par Greenpeace démontre que les bébés sont exposés à de nombreuses substances toxiques industrielles dès le stade fœtal, dans l’utérus même de leurs mères. Greenpeace en appelle à la responsabilité du gouvernement et des élus européens pour que la réforme en cours de la réglementation chimique REACH nous sorte d’une situation plus que préoccupante.


Des analyses menées par Greenpeace montrent la présence de substances toxiques dans le sang du cordon ombilical.

Paris (France) Le rapport, intitulé “Toxiques en héritage”, et portant sur l’analyse de sang maternel et de cordon ombilical, révèle la présence dans ces échantillons de substances chimiques toxiques connues ou présumées dangereuses, et employées comme additifs dans de nombreux biens de consommation courante. Ces substances pénètrent dans l’organisme du bébé via le cordon ombilical sans être arrêtées par le placenta.