Greenpeace publie aujourd’hui un rapport inédit, réalisé par 60 scientifiques de Biélorussie, d’Ukraine et de Russie, qui démontre que l’Agence Internationale de l’Energie Atomique (AIEA) a largement sous estimé l’impact sanitaire de la catastrophe de Tchernobyl.


En souvenir des victimes de Tchernobyl, Greenpeace a mis sur pied une exposition de photos du néerlandais Robert Knoth.

Genève – Même si des incertitudes subsistent
concernant l’ampleur exacte des conséquences de Tchernobyl, le
rapport conclut que cette catastrophe a déjà provoqué 200 000 décès
ces quinze dernières années en Biélorussie, en Ukraine et en
Russie. Le rapport indique de plus qu’à l’avenir plus d’un quart de
million de cancers, dont près de 100 000 cancers mortels,
découleront de la catastrophe.