Diminution de la qualité du sperme, augmentation des cas de stérilité, anomalies génitales chez les bébés… Autant de phénomènes liés à notre reproduction et qui pourraient résulter de notre exposition aux substances chimiques industrielles utilisées dans les parfums, les tapis, les équipements électroniques et autres biens de consommation courante.


Dans leur grande majorité, les molécules présentes dans les biens de consommation courante n’ont jamais été testées et leurs impacts n’ont jamais été évalués.

International –  Tel est le constat que dresse
Greenpeace dans le rapport « Attention fragile: reproduction et
exposition chimique » (Our reproductive health and chemical
exposure), publié ce jour. Ce rapport fait l’inventaire de
nombreuses études scientifiques parues ces dernières années pour
dresser un inquiétant état des lieux de la reproduction humaine. En
cinquante ans, les analyses de sperme révèlent une diminution de
50% du nombre de spermatozoïdes actifs.