La forêt de Khimki est une zone protégée de 1’600 hectares. La société française Vinci et le gouvernement russe veulent y construire une autoroute de 8 km reliant Moscou à son aéroport. Greenpeace demande l’arrêt des travaux actuels car il existe 11 autres tracés alternatifs qui ne détruiraient pas la réserve naturelle. De plus, les droits civils sont bafoués et des militants ont été violemment agressés.    La forêt de Khimki, 1’600 hectares classés « parc forestier », est menacée par un projet d’autoroute reliant Moscou à son aéroport. Greenpeace s’engage depuis décembre 2010 à protéger cette réserve. Le tracé de 8 km est illégal, car il existe 11 autres alternatives. C’est donc une violation de la loi en matière de conservation de l’environnement pas reconnue au vu de la corruption qui sévit en Russie. Greenpeace demande au gouvernement russe d’arrêter ce projet qui n’est viable ni sur le plan environnemental, ni sur les plans social et économique. La société française Vinci engagée dans ce projet de PPP devrait cesser ses activités tant qu’une autre solution n’aura pas été trouvée. En agissant ainsi, Vinci respecterait son engagement en faveur du programme « Global Compact » des Nations Unies signé en 2003. Un assassinat, des menaces scandaleuses contre des journalistes et des militants ont eu lieu.

La forêt de Khimki est une zone protégée de 1’600 hectares. La société française Vinci et le gouvernement russe veulent y construire une autoroute de 8 km reliant Moscou à son aéroport. Greenpeace demande l’arrêt des travaux actuels car il existe 11 autres tracés alternatifs qui ne détruiraient pas la réserve naturelle. De plus, les droits civils sont bafoués et des militants ont été violemment agressés.
    
La forêt de Khimki, 1’600 hectares classés « parc forestier », est menacée par un projet d’autoroute reliant Moscou à son aéroport. Greenpeace s’engage depuis décembre 2010 à protéger cette réserve. Le tracé de 8 km est illégal, car il existe 11 autres alternatives. C’est donc une violation de la loi en matière de conservation de l’environnement pas reconnue au vu de la corruption qui sévit en Russie.

Greenpeace demande au gouvernement russe d’arrêter ce projet qui n’est viable ni sur le plan environnemental, ni sur les plans social et économique. La société française Vinci engagée dans ce projet de PPP devrait cesser ses activités tant qu’une autre solution n’aura pas été trouvée. En agissant ainsi, Vinci respecterait son engagement en faveur du programme « Global Compact » des Nations Unies signé en 2003. Un assassinat, des menaces scandaleuses contre des journalistes et des militants ont eu lieu.

 

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