Aujourd’hui, à Luxembourg, les ministres européens de la pêche discutent une proposition de réforme de la Politique commune des pêches (PCP) que la présidence danoise souhaite soumettre au vote. Greenpeace est donc sur place également, avec 50 militants qui sont venus demander aux ministres d’agir pour que la surpêche cesse en rejetant la proposition danoise.L’accord concocté par la présidence danoise n’empêcherait pas la surpêche car il n’exprime pas la volonté de rétablir suffisamment rapidement les populations de poissons à un niveau durable pour l’environnement et pour garantir le maintien d’une activité de pêche en Europe.Rappelons qu’aujourd’hui, près de 3/4 des stocks de poissons sont d’ores et déjà surexploités en Europe. Cet accord ne ferait que précipiter l’épuisement des océans dans la prochaine décennie. Jusqu’ici, la PCP a privilégié le court terme et les intérêts des bateaux européens les plus destructeurs en leur attribuant des subventions et des quotas de pêche trop généreux. Ces pratiques se sont traduites par un désastre environnemental, des performances économiques médiocres et un déclin de la stabilité sociale et de l’emploi.

Aujourd’hui, à Luxembourg, les ministres européens de la pêche discutent une proposition de réforme de la Politique commune des pêches (PCP) que la présidence danoise souhaite soumettre au vote. Greenpeace est donc sur place également, avec 50 militants qui sont venus demander aux ministres d’agir pour que la surpêche cesse en rejetant la proposition danoise.

L’accord concocté par la présidence danoise n’empêcherait pas la surpêche car il n’exprime pas la volonté de rétablir suffisamment rapidement les populations de poissons à un niveau durable pour l’environnement et pour garantir le maintien d’une activité de pêche en Europe.

Rappelons qu’aujourd’hui, près de 3/4 des stocks de poissons sont d’ores et déjà surexploités en Europe. Cet accord ne ferait que précipiter l’épuisement des océans dans la prochaine décennie. Jusqu’ici, la PCP a privilégié le court terme et les intérêts des bateaux européens les plus destructeurs en leur attribuant des subventions et des quotas de pêche trop généreux. Ces pratiques se sont traduites par un désastre environnemental, des performances économiques médiocres et un déclin de la stabilité sociale et de l’emploi.

Nous ne pouvons pas permettre que cette situation ubuesque continue, les ministres européens doivent trouver le courage d’arrêter la pêche destructrice et de récompenser ceux qui pêchent de manière responsable.

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