Entre mars 2010 et avril 2012, de gros navires-usines se sont livrés à la surpêche dans les eaux sénégalaises entraînant des effets négatifs sur les communautés locales. La délivrance des autorisations de pêche au Sénégal est un scandale qui mérite d’être élucidé avec des sanctions appropriées contre ses auteurs.Malgré les nombreux signaux de détresse lancés par les pêcheurs artisans locaux, les scientifiques, les industriels et les organisations internationales, le régime déchu ne s’en est pas préoccupé, car il a préféré amasser de l’argent. Les résultats d’une enquête de Greenpeace « Main basse sur la sardinelle » montrent que des autorisations de pêche ont été distribuées à des chalutiers étrangers européens et russes sans aucune restriction de quantités. Ils stationnaient même dans des zones de reproduction en toute illégalité. La délivrance de ces permis n’était pas réglementée et le nombre attribué dépassait largement celui déclaré.Grâce à l’annulation des autorisations de pêche aux grands navires étrangers, les nouvelles autorités sénégalaises ont montré la voie à suivre. Greenpeace espère qu’un tel crime ne se reproduira jamais pour assurer la bonne santé des écosystèmes marins!

Entre mars 2010 et avril 2012, de gros navires-usines se sont livrés à la surpêche dans les eaux sénégalaises entraînant des effets négatifs sur les communautés locales. La délivrance des autorisations de pêche au Sénégal est un scandale qui mérite d’être élucidé avec des sanctions appropriées contre ses auteurs.

Malgré les nombreux signaux de détresse lancés par les pêcheurs artisans locaux, les scientifiques, les industriels et les organisations internationales, le régime déchu ne s’en est pas préoccupé, car il a préféré amasser de l’argent.

Les résultats d’une enquête de Greenpeace « Main basse sur la sardinelle » montrent que des autorisations de pêche ont été distribuées à des chalutiers étrangers européens et russes sans aucune restriction de quantités. Ils stationnaient même dans des zones de reproduction en toute illégalité. La délivrance de ces permis n’était pas réglementée et le nombre attribué dépassait largement celui déclaré.

Grâce à l’annulation des autorisations de pêche aux grands navires étrangers, les nouvelles autorités sénégalaises ont montré la voie à suivre. Greenpeace espère qu’un tel crime ne se reproduira jamais pour assurer la bonne santé des écosystèmes marins!

Rapport: « Main basse sur la sardinelle »

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