Le militant suisse, Marco Weber, a enfin pu quitter la prison. C’est une excellente nouvelle pour lui, pour sa famille et pour Greenpeace. Toutefois, les conditions des libérations sous caution accordées cette semaine ne sont toujours pas claires. Pour l’heure, Marco et les autres militants libérés ces 2 derniers jours ont pu récupérer leur passeport. Ceux d’entre eux qui ne sont pas de nationalité russe ont reçu une autorisation spéciale pour pouvoir rester légalement en Russie.
Le militant suisse, Marco Weber, a enfin pu quitter la prison. C’est une excellente nouvelle pour lui, pour sa famille et pour Greenpeace. Toutefois, les conditions des libérations sous caution accordées cette semaine ne sont toujours pas claires. Pour l’heure, Marco et les autres militants libérés ces 2 derniers jours ont pu récupérer leur passeport. Ceux d’entre eux qui ne sont pas de nationalité russe ont reçu une autorisation spéciale pour pouvoir rester légalement en Russie.
Le fait de savoir que Marco peut à nouveau se balader à l’air libre, mais aussi dormir et manger dans des conditions décentes, est un énorme soulagement. Marco a été accueilli par l’équipe de Greenpeace à Saint-Pétersbourg et amené dans un lieu sûr, où il peut commencer à se remettre des deux mois de détention préventive particulièrement pénibles qu’il a subi.
Pour l’heure, 26 militants ont obtenu une libération sous caution, et 15 d’entre eux ont pu quitter leur prison. Le cas du militant Colin Russel reste inquiétant. Il est pour l’heure le seul des 30 de l’Arctique à avoir vu sa détention provisoire prolongée. Greenpeace va faire appel de cette décision et se mobiliser pour obtenir une égalité de traitement.
Si ces nouvelles sont réjouissantes dans leur ensemble, elles ne doivent pas nous faire oublier que les militants continuent d’être sous le coup d’accusations absurdes, pour lesquelles ils risquent toujours plusieurs années de prison.
Mathias Schlegel est porte-parole de la campagne Climat & Energie de Greenpeace Suisse
