Le développement du blé génétiquement modifié (GM) est un mauvais investissement coûteux. Les cultures GM font partie d’une agriculture industrielle, qui a un impact préjudiciable sur l’environnement (surexploitation des sols et de l’eau, pesticides, engrais, monoculture, surproduction animale, etc.).

 Il existe déjà des variétés résistant naturellement à la moisissure. Au lieu de chercher des technologies qui causent des dommages environnementaux et dont l’impact sur ​​la santé des êtres humains et des animaux est méconnu, les chercheurs suisses doivent de plus en plus s’orienter vers des solutions écologiques.

Greenpeace exige que la recherche en agriculture biologique soit intensifiée, car elle favorise la biodiversité, préserve les ressources et garantit une alimentation saine pour l’avenir. Ce serait une contribution réelle à la santé de nos écosystèmes et une garantie pour une meilleure production alimentaire.


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