Greenpeace presse les représentants des Etats à la Conférence des Nations Unies sur le Climat d’agir d’urgence contre les changements climatiques dangereux. «Les pires impacts des changements climatiques peuvent encore être évités, si les gouvernements passent à l’action dès maintenant, explique Steve Sawyer, conseiller climat et énergie pour Greenpeace International. Les futures générations ne nous pardonneront pas le moindre retard.»

Nairobi (Kenya) Greenpeace presse les
représentants des Etats à la Conférence des Nations Unies sur le
Climat d’agir d’urgence contre les changements climatiques
dangereux. «Les pires impacts des changements climatiques peuvent
encore être évités, si les gouvernements passent à l’action dès
maintenant, explique Steve Sawyer, conseiller climat et énergie
pour Greenpeace International. Les futures générations ne nous
pardonneront pas le moindre retard.»

Cette conférence est la première en Afrique sub-saharienne, elle
devrait en conséquence se focaliser sur l’adaptation et sur les
besoins urgents des pays les plus pauvres déjà victimes des impacts
des changements climatiques. Greenpeace et la délégation étudiante
de Solar Generation s’emploieront à mettre en lumière les impacts
en Afrique tout au long de la conférence.

L’obligation morale, légale et politique des pays riches est
indiscutable: ils doivent réduire considérablement leurs émissions
et dans le même temps se préparer a apporter un soutien massif aux
pays plus pauvres afin qu’ils s’adaptent aux impacts des
changements climatiques auxquels nous sommes déjà contraints.

Les pays en développement à travers le monde sont les premiers
et les plus durement touchés par les impacts des changements
climatiques, aujourd’hui Greenpeace présentera son rapport: «Les
changements climatiques changent nos vies» rassemblant des
témoignages de victimes des changements climatiques à travers le
Brésil. Ce rapport démontre également le lien entre la destruction
de la forêt pluviale la plus vaste du monde en Amazonie et le
réchauffement climatique: la déforestation faisant du Brésil le
4ème plus grand émetteur mondial de CO2.

«Les 163 gouvernements ayant ratifiés le Protocole de Kyoto
doivent mettre de côté leur intérêt court terme, conclut Steve
Sawyer, et s’entendre pour affronter une menace globale, dans
l’intérêt de tous, à long terme.»