Dans ce rapport, il est question de criminalité d’entreprise, d’atteintes aux droits humains et des carences des États qui n’assurent ni la protection des personnes ni celle de l’environnement.

On constate ici que les systèmes de mise en oeuvre du droit international n’ont pas joué leur rôle pour les compagnies agissant à une échelle transnationale. On voit qu’une société a pu profiter des « flous juridiques et des conflits de juridiction et que son comportement a eu des conséquences désastreuses.