Nous vous remercions pour votre intérêt. La pétition est désormais close et sera remise le 16 avril 2024.

Faites entendre votre voix pour un traité international sur le plastique

La pollution plastique a atteint une ampleur sans précédent qui ne connaît pas de frontières. Du fond des océans jusque dans la neige de nos montagnes, le plastique se retrouve partout – également dans l’air que nous respirons, dans les aliments que nous mangeons et dans notre sang. Produit à partir de pétrole et de gaz, le plastique ne nuit pas seulement à l’environnement, aux animaux et à notre santé, il accélère aussi la crise climatique.

Une crise mondiale nécessite une solution coordonnée au niveau mondial : le futur traité international sur les plastiques des Nations Unies a le potentiel de mettre le monde sur la voie d’un avenir sans plastique. C’est pourquoi Greenpeace s’engage pour un traité ambitieux et juridiquement contraignant, qui limite la production et l’utilisation du plastique et prend en compte l’ensemble de son cycle de vie.

Les chefs d’État et de gouvernement se sont réunis à Paris en mai 2023 pour négocier l’accord sur le plastique. Malheureusement, le processus a été retardé : les représentants des pays producteurs de pétrole et de l’industrie fossile étaient également présents à la réunion. Ils veulent affaiblir l’accord.
Mais il ne faut pas en arriver là ! Les prochaines négociations auront lieu en avril 2024. D’ici là, nous avons besoin de plus de voix. Signez la pétition !

Nos revendications pour un traité ambitieux

  • Limiter la production et l’utilisation du plastique.
  • Développer à grande échelle des systèmes de recharge et de réutilisation à la place des emballages à usage unique.
  • Demander des comptes aux grands pollueurs pour leur production excessive de plastique.
  • Exiger une transparence totale sur tous les plastiques produits, utilisés, importés et exportés.
  • Exiger des pays riches qu’ils mènent la transition vers le zéro déchet et aident les autres.
  • Assurer une transition juste pour les travailleurs concernés et les communautés en première ligne.