En réaction à la séance plénière qui s’est tenue aujourd’hui dans le cadre de du traité mondial contre la pollution plastique (INC5.2) et qui marque le milieu de cette session de négociations, Graham Forbes, responsable de la campagne mondiale sur les plastiques pour Greenpeace États-Unis ainsi que de la délégation Greenpeace pour les négociations sur le traité, déclare :
« Cinq jours de négociations se sont écoulés et le texte du traité contient encore plus d’un millier d’options entre parenthèses. La majorité des gouvernements et les populations du monde entier savent qu’il faut réduire la production de plastique pour résoudre cette pollution. Certains pays ont fait obstruction à des négociations constructives, ne parvenant pas à diversifier leur économie alors que le monde souffre. Mais ne vous y trompez pas : les combustibles fossiles n’ont pas leur place dans une économie propre vers laquelle notre monde est en train de se diriger. »
« Alors que les États-Unis se dérobent à leur responsabilité de leader pour résoudre des problèmes complexes et globaux, la Chine a l’occasion de jouer un rôle clé dans la protection des populations du monde entier contre les effets toxiques des plastiques. La Chine a prouvé sa capacité à développer et à déployer rapidement des solutions climatiques: son rôle sera également crucial pour parvenir à un avenir sans plastique. À moins d’une semaine de la fin des négociations, il est temps que la Chine transforme son influence en leadership, aide à sortir les négociations de l’impasse et fasse avancer les choses. »
Le texte en négociations est disponible ici.
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Contacts
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Fanny Eternod, service de presse de Greenpeace Suisse, [email protected], +41 78 662 07 31
