Plus de 100 défenseurs de l’Arctique se sont rencontrés à 15h30 sur le Rathausplatz à Zurich pour former un grand cœur fait par des hommes et des femmes. Malgré le mauvais temps, la vue depuis la plateforme élévatrice sur ce tableau où l’on pouvait apercevoir la grande bannière de 4×12 mètres et le cœur était très émouvante. A Neuchâtel, le groupe régional de Greenpeace prenaient en photo des passants pour former la bannière humaine « I love Arctic ».

Plus de 100 défenseurs de l’Arctique se sont rencontrés à 15h30 sur le Rathausplatz à Zurich pour former un grand cœur fait par des hommes et des femmes. Malgré le mauvais temps, la vue depuis la plateforme élévatrice sur ce tableau où l’on pouvait apercevoir la grande bannière de 4×12 mètres et le cœur était très émouvante. A Neuchâtel, le groupe régional de Greenpeace prenaient en photo des passants pour former la bannière humaine « I love Arctic ».

Ils ont ensuite formé un cœur rouge. Unis sous forme de cœur, les participants de l’action de Neuchâtel et de Zürich souhaitaient montrer aux leaders politiques et aux groupes industriels leur inquiétude quant à la fonte des glaces et l’exploitation des matières premières dans l‘Arctique. Les groupes régionaux de Zurich et Neuchâtel ont bénévolement organisé cette action, à laquelle plus de 30 pays et plus de 10’000 bénévoles ont participé. Sa devise, « I love Arctic », fait partie de la campagne de Greenpeace pour une zone maritime protégée en Arctique.

Tilo, un des bénévoles et organisateurs de l’action à Zurich, raconte: « Quand je me suis levé le matin il pleuvait. Je me suis demandé s’il y aurait du monde, par ce temps. Nous avons eu de la chance, nous sommes passés entre les gouttes! Nous avons rapidement monté le matériel et attendu les personnes qui arrivaient une à une. Pendant l’action, j’étais responsable du transport des photographes et j’étais donc situé sur la plateforme élévatrice.

Entre des phrases comme « Peux-tu m’amener un plus par ci ou par là », ou « encore un peu plus haut » ou guider les personnes au sol pour former le cœur, j’ai eu quelques secondes pour contempler Zurich sous un autre angle. J’ai eu ainsi le privilège d’observer comment se formait peu à peu le cœur. Au début, les gens étaient placés sur la ligne extérieure du cœur, ensuite, ils se sont allongés le long de cette ligne – le cœur était déjà beaucoup plus impressionnant comme ça. Pour finir, après avoir assidument « pêchés » des gens parmi les passants et groupes de touristes, nous avons pu remplir le cœur avec plus de 100 personnes. Organiser cette action et, à la fin, voir ce résultat réjouissant, était une expérience captivante et amusante à la fois. Merci à tous ceux et celles qui ont d’une manière ou d’une autre contribué à cette action. »

Alexandra Ottinger est responsable de la coordination des bénévoles de Greenpeace Suisse

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