Greenpeace Suisse publie ce jour une analyse des principales stratégies de communication publicitaires pour la viande, les produits laitiers et les œufs. Le constat est sans appel : des techniques manipulatoires sont utilisées pour légitimer et accroître la consommation de produits d’origine animale, sans distinction entre les produits respectueux de l’environnement et ceux issus de l’élevage intensif. Cette promotion, financée en partie avec l’argent des contribuables, n’est pas cohérente avec la crise climatique et l’extinction de masse des espèces. Greenpeace Suisse demande donc non seulement l’interdiction des publicités financées par les impôts, mais aussi des publicités du commerce de détail pour tout aliment d’origine animale.
De la manipulation publicitaire à nos assiettes : une étude suisse sur la publicité des produits d’origine animale
Articles associés
-
Oh crotte, du microplastique!
Une analyse inédite de Greenpeace Suisse dévoile la présence de microplastique dans les déjections des mammifères sauvages suisses. Chevreuil, sanglier, chamois ou encore fouine, les échantillons analysés contiennent des microplastiques, parfois à des concentrations très élevées.
-
The Big Plastic Count
Résultats de l’enquête participative sur les plastiques ménagers en Suisse.
-
La viande brésilienne dans les supermarchés suisses
Une enquête de Greenpeace Suisse révèle que les supermarchés Coop et Migros, malgré leur engagement contre la déforestation dans leurs chaînes d’approvisionnement, proposent encore certains aliments à base de bœuf brésilien. L’un des produits vendus par Coop a pu être relié à la déforestation de la forêt amazonienne.