Le pétrole des sables bitumineux, le plus ‘sale’ du monde, n’a pas sa place dans un futur énergétique propre.

De nombreux groupes et intérêts européens investissent et se positionnent sur ce nouveau marché international du pétrole dans la région de l’Alberta (Canada), du Venezuela ou d’ailleurs. Ils y voient une nouvelle ressource prometteuse, misent sur un prix du baril élevé, qui justifie les investissements monumentaux nécessaire à l’exploitation de ce pétrole le plus sale mais aussi le plus cher à produire de la planète.